La première séance d’installation du Conseil municipal élu par les Montiliens le 15 mars dernier, s’est tenue dans des conditions très particulières.
Elle a eu lieu à la salle des fêtes du Château d’Eau, et sans public. Cette première séance, qui est habituellement un moment fort en émotions, certes très solennel, mais surtout très chaleureux, n’avait pas ce caractère cette année. Après l’élection du maire et des adjoints, j’ai remis les écharpes à mes collègues de loin, sans pouvoir les en habiller, sans pouvoir leur adresser publiquement une petite attention, une accolade, ou une poignée de main. Sans qu’ils puissent s’exprimer, la séance devant être la plus courte possible. Nous étions masqués, et nous nous sommes tenus à distance, afin de respecter les conditions sanitaires.
La séance était tout de même publique, puisqu’elle a été diffusée en direct grâce à un « Facebook Live ». Vous pouvez la revoir dans son intégralité en cliquant ici.
Je tiens à remercier une nouvelle fois les Montiliennes et les Montiliens qui ont fait confiance à notre équipe. Je remercie toutes celles et ceux qui ont apporté leur soutien à notre projet. Enfin, je tiens également à remercier mes colistiers, élus ou non, pour leur confiance, pour leur dévouement pour notre ville et ses habitants.
Je remercie l’ensemble des agents municipaux qui se sont mobilisés pour que, malgré les mesures sanitaires, le Conseil municipal puisse se réunir dans des conditions garantissant la sécurité de toutes les personnes présentes.
La séance se devait d’être la plus courte possible, c’est pour cette raison qu’une fois élu maire, j’ai fait une intervention très courte (que vous pouvez retrouver ici). Cette précaution n’a pas été prise par les têtes de listes de l’opposition…
Il y a ceux qui parlent et ceux qui agissent. Avec mon équipe, nous sommes à présent dans l’action : les yeux tournés vers l’avenir des Montiliennes, des Montiliens, et de notre ville que nous aimons tous. La polémique n'ayant aucun intérêt pour nous, je n'ai pas répondu aux attaques de nos oppositions.